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Réussir l’intégration et l’onboarding des nouveaux talents : un enjeu stratégique

  • philippecarreau
  • 8 avr.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 11 avr.

20 % des nouvelles recrues quittent leur entreprise dans les 45 premiers jours (source : Work Institute, 2023). Un mauvais onboarding coûte cher en recrutement, en temps et en engagement.

Attirer les meilleurs talents est un défi, mais les retenir en est un autre. L’intégration et l’onboarding sont bien plus que de simples formalités administratives : ils conditionnent l’engagement, la performance et la fidélisation des collaborateurs.

Pourquoi l’onboarding est crucial ?

Un onboarding efficace permet de :

·         Réduire le turnover : Une intégration réussie augmente de 58 % la probabilité qu’un salarié reste au-delà de trois ans (source : Glassdoor, 2023).

·         Favoriser l’engagement : Les nouvelles recrues bénéficiant d’un onboarding structuré sont 69 % plus susceptibles de rester engagées (SHRM, 2023).

·         Améliorer la productivité : Un collaborateur bien intégré atteint son plein potentiel 34 % plus rapidement (Harvard Business Review, 2022).

·         Renforcer la diversité et l’inclusion : Une intégration réussie permet de surmonter les résistances internes et de créer un environnement où chaque profil trouve sa place.

Les écueils d’une intégration ratée

Un onboarding mal conçu peut avoir des conséquences lourdes :

·         Un manque de clarté sur les attentes et les missions, générant frustration et désengagement.

·         Une culture d’entreprise floue, freinant l’adaptation et l’adhésion aux valeurs.

·         Un isolement social, nuisant à la collaboration et à la motivation.

·         Un choc entre l’idéalisation et la réalité : Les nouveaux collaborateurs, comme leurs équipes d’accueil, doivent être accompagnés pour gérer les ajustements et éviter les désillusions.

Les bonnes pratiques pour un onboarding réussi

1.      Préparer avant l’arrivée :

o    Anticiper l’accueil (poste de travail, matériel, accès aux outils).

o    Envoyer un kit de bienvenue pour créer du lien avant le premier jour.

o    Sensibiliser les équipes d’accueil aux enjeux d’inclusion pour favoriser un climat bienveillant.

2.      Structurer un parcours d’intégration :

o    Mettre en place un programme sur plusieurs semaines.

o    Définir des objectifs clairs et progressifs.

o    Assigner un mentor ou un parrain pour accompagner la nouvelle recrue.

o    Prendre en compte les particularités des profils issus de parcours diversifiés pour éviter toute rupture d’intégration.

3.      Encourager l’interaction et l’engagement :

o    Organiser des rencontres avec les équipes et la direction.

o    Proposer des activités collaboratives pour faciliter l’intégration.

o    Mettre en place des espaces d’échange pour permettre aux nouvelles recrues d’exprimer leurs attentes et éventuelles difficultés.

4.      Soutenir par un suivi personnalisé :

o    Effectuer des points réguliers pour mesurer l’intégration et ajuster si besoin.

o    Recueillir du feedback pour améliorer continuellement le processus.

o    Accompagner les collaborateurs et managers dans la gestion des écarts entre attentes et réalité.

Repenser l’intégration pour une performance durable

L’onboarding n’est pas qu’un processus, c’est une expérience qui doit donner envie aux collaborateurs de s’investir. Des approches immersives, basées sur la créativité et l’émotion, permettent d’ancrer plus solidement l’engagement dès les premiers jours.

Et si nous en parlions ? Mettre en place une intégration réussie, c’est investir dans la réussite de demain.

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